Johanne dit qu’elle préfère « être ceci ou être cela », elle aime la différence, toute une nuance face au sec « être ou ne pas être ».
Dans un sourire elle glisse « On peut se réinventer à chaque moment ». Elle a trouvé la clé pour prendre le contrôle du système central autonome. Son calme et son assurance montre la minutie avec laquelle elle peut opérer pour aller chercher la carte du cerveau.
Elle la dessine par l’enregistrement des ondes électriques. J’avais du mal a croire il y a quelques années que nous étions émetteur-récepteur. Voilà que dans un souffle, elle me dit que je suis aussi un transformateur. On ne m’a pas tout dit. Merci Johanne, heureusement que tu es là.
Du business à la philosophie nous voici dans le dur : la science d’où je viens, celle qui me rassure, qui m’a fait. Je sais que je suis fils de Pythagore ni de Socrate ou Platon.
Johanne nous dit que nos pensées sont traduites très clairement pour elle. Elle sait lire nos déséquilibres et les redresser. Elle nous montre le lien étroit entre la pensée et ce qu’elle induit dans notre physiologie. Heureusement qu’elle a un cœur d’or pur. La science en conscience est dans son lumineux sourire.

Le neurofeedback permet un lifting du cerveau comme on fait celui de la peau. Sa douceur de maîtresse femme nous dit que le plaisir, l’attention, la passion produit la dopamine carburant du changement.
Aimez ce que vous faites et votre cerveau se transforme, peu importe votre âge, tout est possible, pas de limite.
Plaisir, intensité, répétition, excellence sont les gages de la bonne santé de votre cerveau.
Pour finir deux conseils qui me vont droit au cœur et renforce mes convictions d’entraîneur :
Nous sommes uniques, n’essayez pas d’être comme l’autre, vous n’y arriverez pas. N’insistez pas, la dépression ou le burnout vous guette.
En entrant pour la première fois en Andalousie sur un parcours tracé par Severiano Ballesteros (disparu trop tôt d’une tumeur au cerveau), le premier document que j’ai trouvé a été une publicité de « NeurOptimal ». Technique de neurofeedback pour vous faire bien jouer. Lecture terminée, je restais incrédule de ce qu’ils avaient été chercher. Je comprends pour soigner mais pour jouer, quel excès !
Merci Johanne de m’avoir averti de ne jamais laisser un ami y toucher.
Avant de terminer, une perle : https://youtu.be/m7M5NqVUQy0
Michel Prieu
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